Complémentaire santé : un souci de diversion
rnLes mesures de transfert de 150 millions d'euros (300 millions d'euros pour l'année) de l'assurance maladie obligatoire vers les organismes d'assurance complémentaire santé à partir de juillet 2023 sont encore indéterminées. La complémentaire santé s'impatiente.
C'était le 13 octobre. Ce jour-là, est créé le Comité de dialogue avec les organismes complémentaires (CDOC), instance consultative qui réunit l'Etat, l'Assurance maladie, les 3 fédérations d'organismes complémentaires (Mutuelle française, Assurance française, CTip) et l'Unocam. Le comité lancera "une nouvelle méthode de travail pour aborder dans la durée les questions structurelles liées à la réforme de notre système de santé" avant de désigner le ministère de la Santé et de la Prévention.rnrnPropositions "sans réponse"rnrnAprès seulement cinq mois, le travail de l'agence a cessé. Sur ce montant, 150 millions d'euros à partir de juillet 2023 - 300 millions d'euros pour l'ensemble de l'année - font partie du transfert de l'assurance maladie obligatoire vers l'organisme complémentaire santé - une mesure toujours inscrite dans la loi de financement de la santé.
"Dès que le gouvernement annonce le transfert de 300 millions d'euros de dépenses nouvelles par an, l'organisme des auxiliaires propose notamment de mieux comptabiliser les actions des professionnels auxiliaires médicaux en appui aux virages préventifs et à la transformation du système de santé.", désignation Mutualité française, sponsorisée par la compagnie d'assurance Argus doutes.
"Cinq mois plus tard, nous n'avons toujours pas eu de réponse des pouvoirs publics malgré plusieurs rappels, ce qui contredit l'esprit de la Commission de dialogue avec les agences complémentaires", a-t-elle ajouté.rnaucune réunion répertoriéernrnEn effet, « ce manque de visibilité chronique a laissé aux mutuelles une incertitude sur la gestion de leurs soldes, avec des implications techniques variables selon les postes de dépenses à retenir et le mix de risques », s'alarme la FNMF.
Un autre représentant de l'information a jugé : « Sans aucune nouvelle du ministère de la Santé et de la Prévention, il est donc inquiétant et même inacceptable de ne pas pouvoir constater une baisse du fonctionnement de l'enveloppe de transfert. » Selon nos informations, il y a no new La réunion du CDOC est actuellement prévue. Cependant, le temps manquait pour les délégués qui ont fait les entretiens supplémentaires, notamment parce que d'autres sujets majeurs pour le département, tels que la restauration du site Web 100% sain, pouvaient être discutés au sein de l'établissement.rnrn